Claude Brasseur, matemático,
investigador em energias renováveis
Le «réchauffement climatique anthropique lié aux
émissions de CO2» est pris fort au sérieux, surtout par des personnes de bonne foi qui veulent agir
pour nous éviter de « cuire » dans un avenir plus ou moins proche. La
vignette anti-pollution?
Pourtant, un refroidissement se prépare. Il se
peut, même, que l’hiver actuel en soit le début. L’astronome Valentina Zharkova a fait récemment une découverte
capitale : les taches solaires peuvent être prédites et elles sont signe
de réchauffement s’il y en a beaucoup, de refroidissement s’il y en a peu.
Depuis des siècles, l’homme observe les taches solaires et le
parallèle entre le nombre de taches et le temps qu’il fait. Il y a 200 ans,
William Herschell, l’astronome qui a découvert la planète Uranus, attirait
l’attention de ses collègues sur le lien entre le prix du blé en Angleterre et…
le nombre de taches solaires. S’il y a peu de taches solaires, le ciel est couvert, il fait froid et
les récoltes sont faibles; s’il y en a beaucoup, le ciel est dégagé, il fait
chaud et les récoltes sont généreuses. D’épouvantables périodes de refroidissement
climatique avec très peu de taches solaires – connues sous le nom de «Périodes de Maunder et de Dalton» –
entre 1600 et 1800 ont été encadrées de périodes plus clémentes de 1300 à 1600
et de 1800 à 2000.
Aujourd’hui, le GIEC,
organisme politique de l’ONU, financé pour démontrer le rôle climatique de
l’homme, nie ou minimise l’importance des prédictions de Valentina Zharkova. Pourtant, un an
plus tard, aucun astronome ou autre scientifique n’a émis la moindre critique
sur sa découverte.1
Jusqu’en octobre 2015, l’évolution du magnétisme
solaire qui conditionne, pour l’essentiel, ces variations du climat restait
imprévisible.
La mathématicienne astronome Valentina Zharkova et
ses collègues ont résolu ce problème à la Northumbria University (Angleterre)
et un article a été publié dans la célèbre revue Nature.2
Que se passe-t-il ? Imaginons un double moteur thermique à la surface du Soleil. L’un est visible, l’autre – sous la surface —
invisible.
Leur mécanique est presque synchrone. Le passé magnétique du Soleil peut
alors être parfaitement reproduit… et le futur peut être décrit. Il nous
annonce un refroidissement climatique pour bientôt…
Cette découverte recevrait
le prix Nobel d’astronomie si un tel prix existait mais elle reste dans l’ombre car elle
ridiculise définitivement les élucubrations du GIEC sur le rôle de l’homme dans
les changements climatiques…3
«On» est allé jusqu’à
s’organiser pour que la recherche sur Google, quand on tape « Valentina Zharkova »,
ne mène pas directement à son article mais à une pleine page de noms d’articles
qui nient tous l’importance des conséquences de sa découverte pour le temps à
venir. Ces articles
sont souvent écrits par des personnes dont on ne mentionne pas les compétences…4
Pour finir, on ne pourra jamais libérer assez de CO2 à
temps pour compenser la perte d’activité des plantes obligées de résister aux
froids intenses annoncés pour 2030 ! Il s’agit, bien entendu, des régions
où les températures seront encore suffisamment élevées pour permettre une
végétation, pas de régions « polaires ». Et précisons que le CO2 seul est
concerné. Il est accompagné le plus
souvent de pollutions réelles, nocives. Il est évident que nous devons tout
faire pour les diminuer…
En conclusion: préparons-nous à avoir froid – sans
savoir à quel point nous aurons froid – et cessons
d’écouter les lobbies pour qui « changement climatique »
signifie uniquement « augmentation des bénéfices».
Notes:
[1] Ainsi, la quête du «boson de Higgs» a duré des
décennies, tout comme la recherche de la mécanique solaire qui régit les taches
solaires. Pour les deux recherches, on est arrivé à un degré de précision
extrême qui les a fait passer du stade de «théorie» au stade de «découverte».
[2] V. V. Zharkova et
alt.: Heart Beat of the Sun from Principal Component Analysis and prediction of
solar activity on a millenium timescale – Nature
[3] Al
Gore a reçu le prix Nobel pour son film Une vérité qui dérange. Son
contenu le plus impressionnant portait sur l’analyse des carottes de glace
extraites des zones polaires. Celles-ci révèlent un parallèle étroit entre la
variation de la température terrestre et le taux de gaz carbonique de
l’atmosphère durant les 800.000 dernières années. Une analyse plus fine des
glaces a montré que la croissance du CO2 suivait l’augmentation
de la température et non le contraire, thèse fondamentale d’Al Gore et du GIEC.
En fait, quand la Terre se réchauffe, les océans crachent leur CO2…5 ce rôle de
l’homme qui est la seule justification des investissements dans l’éolien et
autres «énergies renouvelables» ruineuses pour les citoyens. Énergies
renouvelables qui devraient nous épargner des températures de plus en plus
élevées, des catastrophes à tous les niveaux… alors que Valentina Zharkova nous
apprend qu’une nouvelle «ère glaciaire» débute.6 De très violentes éruptions volcaniques
refroidissent aussi occasionnellement la planète tandis que, à plus long terme,
d’autres phénomènes liés à l’orbite terrestre jouent des rôles climatiques
décisifs…
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